Tokyo, au printemps. Comme chaque jour, Sentaro travaille dans sa minuscule boulangerie quand Tokue, une vieille dame, entre chez lui. Elle lui demande s'il veut bien l'embaucher comme aide-boulangère. Sentaro n'est pas très emballé par cette idée, jusqu'à ce qu'il goûte au An de Tokue, une pâte de haricots rouge si délicieuse que le boulanger en oublie toutes ses réserves et l'engage sur-le-champ.
Le Japon connaît une vie trépidante. Tout y est compétition et haute technologie. Et pourtant le cinéma et la littérature nous livrent des œuvres d’une rare poésie et d’une délicatesse unique. « Les délices de Tokyo » est un film sur la simplicité des êtres, l’amitié, le respect et l’exclusion. A l’image des cerisiers japonais en fleur il est d’une grande beauté.