Ar-Men, pour tous les amateurs de la mer, ce nom est synonyme d’espoir dans la tempête.
Au loin, au large de l'île de Sein, Ar-Men émerge des flots. Il est le phare le plus exposé et le plus difficile d'accès de Bretagne, c'est-à-dire du monde. On le surnomme "l'Enfer des enfers"
Pendant près de cent cinquante ans, ce sont des hommes, par équipe de deux, qui ont veillé à ce que sa lanterne fonctionne coûte que coûte. Seuls à l’intérieur de leur tour, ces gardiens font face à l’océan et à eux-mêmes.
Le récit semble terre-à-terre mais très vite l'intrigue se développe et gagne en profondeur. On y découvre ainsi des récits dans le récit et petit à petit le voile se lève sur l’histoire des personnages.
Les illustrations sont grandioses et certaines planches sont de vrais tableaux qui nous font naviguer et nous submergent d’émotions.